Découvrez 10 conseils essentiels pour dompter le défi cycliste le plus exigeant de l’hiver et apprécier chacun des 500 kilomètres.
La Rapha Festive 500 est un défi annuel lancé par la marque de cyclisme Rapha. Il encourage les cyclistes du monde entier à rouler 500 kilomètres entre le jour de Noël et le Nouvel An. C’est devenu une tradition pour beaucoup de cyclistes.
Elle est devenue une formidable ambassadrice pour la marque Rapha.
Il est important de noter que ce n’est pas une course, mais plutôt une célébration de l’endurance et de l’amour pour le cyclisme. De nombreux participants partagent leurs expériences sur les réseaux sociaux avec le hashtag #Festive500.
Le défi peut être accompli en solo ou en groupe, à l’intérieur ou à l’extérieur, et il n’y a pas de récompense pour le finir en premier. L’objectif est simplement de rouler 500 kilomètres en huit jours, un exploit qui n’est pas facile étant donné les conditions météorologiques souvent difficiles en cette période de l’année dans de nombreux endroits.
Je l’ai réalisé pour la première fois en 2022. Les années précédentes, mon objectif était de rouler 250 kilomètres pour la même période. Cela me faisait peur et je n’étais pas assez régulier pour me lancer sereinement.
Je vous raconterai en détail mon périple dans un article.
Voici dix conseils pour vous aider à relever et réussir la Rapha Festive 500.
Préparation
La réussite de la « Rapha Festive 500 » nécessite 3 choses : une préparation physique (et mentale) adéquate, une acclimatation au froid et un vélo en bon état. Ces éléments sont intrinsèquement liés et nécessitent une attention particulière avant de se lancer.
La préparation physique
La préparation physique est un aspect essentiel de la réussite du Festive 500. Parcourir 500 kilomètres en huit jours est un défi de taille qui nécessite une bonne condition physique.
Entraînement progressif
Commencez à vous entraîner plusieurs semaines, voire plusieurs mois avant. L’entraînement doit être progressif, en augmentant graduellement la distance et l’intensité de vos sorties à vélo. Cela permettra à votre corps de s’adapter à l’effort et de développer l’endurance nécessaire pour le bon déroulement.
Acclimatation au froid
Il est également important de s’entraîner dans le froid avant de commencer. Cela aidera votre corps à s’adapter aux basses températures et vous permettra de tester votre équipement pour vous assurer qu’il offre une protection adéquate contre le froid.
Si vous roulez régulièrement, la température descend graduellement après l’été et l’acclimatation sera plus douce.
Préparez votre vélo
La préparation du vélo est la première étape cruciale pour réussir la Festive 500. Assurez-vous que votre vélo soit prêt pour les longues distances et les conditions météorologiques potentiellement difficiles. Il y a de fortes chances que vous ayez du froid, de la pluie et les joies associées comme la boue ; voire de la neige.
Sans un vélo en bon état, atteindre l’objectif peut se transformer en une tâche ardue. Le moindre pépin mécanique se transforme en enfer. Il faut faire son possible pour les prévenir.
Faites une vérification complète des freins, du passage des vitesses et de la transmission générale, des pneus et des lumières.
Inspection générale
Commencez par une inspection générale de votre vélo. Vérifiez le cadre pour détecter les signes de fissures ou de déformations. Assurez-vous que toutes les vis et les écrous sont bien serrés avec une clé dynamométrique.
Vous pouvez aussi l’amener pour un check-up chez votre vélociste. L’avantage est qu’il est plus facile de trouver des rendez-vous en atelier à cette période. La plupart des personnes faisant du vélo les ont rangés pour l’hiver.
J’aurais mieux fais de le faire, je me serais épargné ça le 29 décembre :
J’ai eu la chance de trouver un vélociste qui m’a reçu. Autrement c’était terminé.
Entretien des freins et de la transmission
Assurez-vous que vos freins fonctionnent bien et qu’ils sont capables de vous arrêter rapidement et en toute sécurité. Surtout que les conditions souvent humides allongent les distances de freinage.
La transmission doit être en bon état. Vous devrez sûrement lubrifier plus souvent pendant la semaine à cause de l’humidité, de la boue et de la pluie.
Des conseils pour l’entretien de votre transmission dans l’article « Transmission : le nerf de la guerre ».
Vérifiez également le passage des vitesses qui doit se faire sans à-coups et aisément.
Vérification des pneus
Vos pneus doivent être en bon état et adaptés aux conditions hivernales. Vérifiez qu’ils sont bien gonflés et qu’ils n’ont pas de coupures ou de hernies. Ils ne doivent pas être très usés sous peine d’être victimes de multiples crevaisons. Si possible, envisagez d’utiliser des pneus d’hiver pour une meilleure adhérence sur les routes humides ou glissantes. J’utilise depuis des années les pneus suivants pour l’hiver en fonction de ce que je trouve (et des prix) :
Les trois sont excellents dans ces conditions, j’aurais du mal à les classer. J’ai utilisé pour la première fois les Hutchinson l’hiver dernier faute d’avoir trouvé un des deux autres et ils m’ont bluffé !
Je passe aux pneus « hiver » dès que la température moyenne est inférieure ou égale à +7 °C. Les pneus classiques que l’on va dire « été » durcissent avec le froid et sont moins adapté. Cela pourra vous donner de sacrées frayeurs, surtout sous la pluie. Le pneu va moins s’écraser sur la route et avec l’adhérence amoindrie c’est la chute assurée.
Pour les températures supérieures, ils ont moins de rendement, un feeling plus pataud et s’usent très rapidement.
En sachant que malgré vos précautions vous pourriez vivre des moments fort peu agréables.
J’ai même eu droit à une petite crevaison le dernier jour de l’année. Un vrai bonheur.
Éclairage
Comme les jours sont plus courts en hiver, il est probable que vous finissiez certaines de vos sorties à la tombée de la nuit. Ou alors que vous deviez rouler de nuit, peu importe la raison.
Mes conseils pour rouler la nuit ici.
Au-delà de la durée du jour, il y a souvent de la pluie, du brouillard et le temps peut être très couvert. Il y a généralement moins de circulation, mais les automobilistes sont peu habitués à voir des vélos sur la route à cette période. Il faut être le plus visible possible.
Le petit bonus : de nuit sous la pluie.
Petite parenthèse : oubliez la veste noire.
Assurez-vous que vos lumières fonctionnent correctement pour garantir une bonne visibilité. Retenez que lorsque le thermomètre chute, l’autonomie des batteries est moins importante.
Mes vestes hiver sont jaune fluo et j’utilise des bandes réfléchissantes pour être plus visible.
Planifiez vos itinéraires
La planification vous évitera les mauvaises surprises et vous permettra d’adapter les sorties à votre forme.
Utilisez des outils de planification
Utilisez des applications de cartographie ou des sites web spécialisés pour planifier vos itinéraires. Des outils comme Strava, Komoot ou Google Maps peuvent vous aider à trouver des routes intéressantes, à calculer les distances et à prévoir les dénivelés.
Vous aurez certainement besoin de trouver des itinéraires plus plats certains jours pour vous « reposer ».
Variez les parcours
Pour garder un intérêt, essayez de varier vos parcours. Explorez différentes routes, visitez de nouveaux endroits et changez de paysage. Cela peut aussi vous aider à rester motivé tout au long de la semaine.
La monotonie pour un objectif aussi difficile peut être fatale en termes de motivation et de stimulation.
J’ai utilisé StatsHunters pour découvrir de nouvelles routes même si cela m’a valu quelques chemins PAS DU TOUT adaptés pour mon vélo, mais ça a mis un peu de piment dans le défi.
Oui, j’y suis allé avec mes pneus routes presque lisses de 25 mm de largeur… et c’est passé. Non sans quelques glissades.
Précision surement inutile mais préparez vous à laver TRÈS SOUVENT votre vélo durant la semaine. Je l’ai lavé après toutes les sorties sauf la première.
Habillez-vous en conséquence
Les conditions météorologiques peuvent être imprévisibles en hiver, et vous devez être préparé pour tout, du soleil à la neige (légère chute) en passant par la pluie. J’ai eu des chutes de neige une année durant cette période mais je ne faisais pas la Rapha Festive.
Les 3 couches ?
Pour moi, c’est un mythe et je n’ai jamais mis 3 couches l’hiver. Je porte uniquement deux couches de vêtements, quelles que soient les conditions jusqu’à maintenant. Un dessous technique et une veste. J’ai roulé jusqu’à des températures inférieures à -10 °C et sous la pluie avec des températures proches de 3\4 °C.
Il faudra tout de même rester au chaud sans être surchauffé. Et prévoir une veste résistante à l’eau et/ou au vent pour vous protéger des éléments.
Protégez vos extrémités
N’oubliez pas de protéger vos mains, vos pieds et votre tête. Utilisez des gants d’hiver (voire chauffants), des chaussettes thermiques (+ des surchaussures) et un bonnet ou un bandeau pour couvrir vos oreilles et votre nez.
J’utilise une cagoule dès que la température est inférieure à 10 °C pour protéger mes poumons et voies aériennes.
J’utilise deux cagoules de chez Decathlon : la cagoule vélo 500 (préférez la version jaune fluo si elle est disponible). Surtout pour les températures entre +5°C et +10°C. Pour les conditions plus froides et/ou humides : la cagoule vélo 900 qui est coupe-vent et plus étanche.
Soyez visible
En hiver, la luminosité peut être faible même pendant la journée. Portez des vêtements de couleur vive ou avec des éléments réfléchissants pour augmenter votre visibilité sur la route.
Vous verrez ce que j’utilise l’hiver dans cet article sur l’entretien des vêtements.
Hydratation et nutrition
L’hydratation et la nutrition sont deux éléments clés pour maintenir votre énergie et vos performances lors de longues sorties à vélo.
Forcez-vous à boire
Même si l’hiver et le froid peuvent réduire la sensation de soif, il est crucial de rester bien hydraté. C’est moins pratique que l’été aussi, les liquides peuvent vite être froids, voire glacés.
Forcez-vous à boire toutes les 15 minutes sans louper une période. On transpire malgré les couches sans toujours le ressentir.
La déshydratation est aussi dangereuse l’hiver que l’été. Essayez de boire régulièrement tout au long de votre trajet, même si vous n’avez pas soif.
J’utilise la boisson isotonique Iso+ de chez Decathlon toute l’année, l’hiver je « charge » un peu plus le bidon dédié.
Pour les bidons, j’utilise des bidons isothermes Zefal Arctica Pro. Ça ne fait pas des miracles et la boisson finira froide après les longues sorties, mais cela reste raisonnable et jamais désagréable niveau température.
J’ai longtemps utilisé les modèles Podium Chill de Camelbak, mais j’ai été (très) déçu des tétines des dernières versions.
Nutrition
Mangez de bons repas et ne craignez pas le gras : vous aurez besoin de beaucoup d’énergie à brûler pendant la semaine. Vous vous rendrez compte à quel point une raclette, une croziflette et autres délices régionaux sont extrêmement réconfortants.
Pour la nutrition sur le vélo, j’évite les nougats et assimilés qui deviennent du béton à manger.
Les meilleures barres que j’ai utilisées sont de la marque Clif qui durcisse un peu tout en restant facile à manger, y compris avec des températures négatives.
Je les achète par paquet de 12 chez Decathlon, c’est le magasin où elles sont les moins chères.
Roulez en groupe
Rouler en groupe peut rendre la Rapha Festive 500 plus agréable et motivante.
Cela augmentera la motivation en créant un sentiment de camaraderie et de soutien mutuel. De plus, c’est une excellente occasion de partager l’expérience avec d’autres et de créer des souvenirs durables.
Il y a l’aspect sécuritaire aussi, surtout lors de longues sorties en hiver. Dans le cas où vous auriez un problème mécanique, une crevaison ou un autre problème, il est toujours bon d’avoir quelqu’un pour vous aider.
J’ai fait ma Rapha festive seul tout en profitant de la semaine. J’ai rencontré quelques cyclistes avec qui j’ai partagé un bout de chemin et échangé sur notre folie commune.
La plupart des cyclistes que vous verrez à cette période sur la route participent à la Rapha Festive. D’un autre côté, il faut vraiment avoir une bonne raison pour être sur son vélo sous la pluie et dans le froid. Surtout quand on pourrait être allongé avec un plaid sur son canapé. 😀 .
Écoutez votre corps.
La Rapha Festive 500 est une épreuve exigeante, tant physiquement que mentalement. Afin de réussir ce défi tout en préservant votre santé, il est essentiel d’être à l’écoute de votre corps et de répondre à ses besoins tout au long du parcours.
Ne négligez pas l’importance du repos et de la récupération. Si vous vous sentez fatigué, il est préférable de faire une pause ou de raccourcir votre sortie. Se reposer correctement après chaque sortie vous permettra de récupérer et d’être prêt pour la prochaine.
Soyez attentif aux signaux de votre corps
Faites attention aux signaux que votre corps vous envoie. Par exemple, si vous ressentez une douleur aiguë pendant votre sortie à vélo, cela peut être le signe d’une blessure potentielle. Dans ce cas, il est préférable de ralentir ou de s’arrêter pour éviter d’aggraver la situation. En cas de fatigue extrême, il est peut-être temps de faire une pause. Vous blessez ne servira à rien et vous fera commencer l’année dans de mauvaises dispositions sans avoir rien gagné.
Faites des pauses régulièrement
Faire des pauses régulières est une autre façon de prendre soin de votre corps. Ces pauses vous permettent de vous reposer, de vous hydrater et de vous nourrir. Elles sont également l’occasion de faire des étirements pour relâcher la tension musculaire et prévenir les crampes.
Restez flexible
L’hiver peut apporter des conditions météorologiques imprévisibles, et il est important d’être prêt à adapter vos plans en conséquence. Si le temps est trop mauvais un jour, ne vous forcez pas à rouler. Vous pouvez toujours rattraper la distance un autre jour.
Prévision météorologique
Avant chaque sortie, vérifiez toujours la prévision météorologique. Cela vous donnera une idée des conditions auxquelles vous pouvez vous attendre et vous aidera à planifier votre sortie en conséquence. Si la prévision annonce une tempête de neige ou des températures extrêmement basses, il peut être plus sûr de reporter votre sortie à un autre jour.
C’est très motivant, mais ne vous mettez pas en danger.
Roulez régulièrement
Rouler régulièrement est une stratégie efficace pour accomplir le Festive 500. Plutôt que de parcourir de longues distances en une seule sortie, essayez de rouler un peu chaque jour. Cela peut rendre le défi moins intimidant et plus gérable.
Il est aussi intéressant de mixer des jours de sorties plus longues suivies de sorties « récupération » plus courtes et faciles.
La régularité a également d’autres avantages. Elle permet à votre corps de s’adapter à l’effort quotidien. De plus, elle crée une routine qui peut vous aider à rester motivé(e).
Mon dernier jour (le 31 décembre), j’ai rencontré un cycliste qui devait rouler 230 kilomètres dans la journée pour finir. Il avait eu une défaillance non anticipé sur la semaine. Je ne sais pas si il y est parvenu. Il pleuvait et le vent soufflait fort. Des rafales jusqu’à 70 km/h.
Étaler la charge
Étaler la charge signifie diviser le total de 500 kilomètres sur la durée de manière à éviter l’épuisement. Cela peut être réalisé en planifiant des sorties de différentes longueurs tout au long de la semaine.
Il est important de se rappeler que chaque kilomètre compte, même les petites sorties peuvent s’additionner pour atteindre l’objectif de 500 kilomètres.
Ne négligez pas la récupération pendant et après la Rapha
La récupération est une composante essentielle pour réussir tout défi sportif, y compris la Rapha Festive. Après un effort physique intense, votre corps aura besoin de temps et de soins appropriés pour se rétablir.
Le sommeil
Le sommeil est essentiel à la récupération. C’est pendant le sommeil que votre corps fait la majeure partie de sa guérison et de sa réparation. Assurez-vous d’obtenir au moins 7 à 9 heures de sommeil par nuit. Si possible, essayez de faire des siestes pendant la journée pour aider à la récupération.
La nutrition
Après l’effort, votre corps aura besoin de nutriments pour réparer les muscles et reconstituer les réserves d’énergie. Mangez des repas équilibrés riches en protéines pour la réparation musculaire, en glucides pour reconstituer les réserves d’énergie, fruits et légumes pour les vitamines et minéraux.
Il vous faudra également boire suffisamment. Pour éviter les crampes et aussi éliminer les toxines accumulées.
Les étirements
Les étirements sont un moyen efficace de soulager les douleurs et les raideurs musculaires. Après l’exercice, concentrez-vous sur les étirements dits « passifs » ou « statiques », où vous maintenez une position pendant une période prolongée (généralement 30 secondes ou plus). Ces types d’étirements aident à augmenter la flexibilité et à réduire la tension musculaire. Assurez-vous d’étirer un maximum des grands groupes musculaires que vous avez utilisés pendant les sorties. Les quadriceps, les ischio-jambiers, les mollets, les hanches, le dos et les épaules.
Les autres soins
Cela m’arrive de prendre des bains, cela va vous détendre et vous réchauffer après les heures passées dans le froid.
Les automassages aideront à soulager les tensions musculaires, à améliorer la circulation sanguine et à accélérer la récupération.
Profitez du paysage
Le Festive 500 n’est pas seulement un défi, c’est aussi une occasion de profiter de l’extérieur et de la beauté de l’hiver.
Prenez le temps
Prenez le temps d’apprécier le paysage, de respirer l’air frais et de profiter de l’expérience. Souvent, nous sommes trop concentrés sur la destination et nous oublions d’apprécier le voyage.
Au-delà de la poésie (relative) de cette phrase… la réalité est que vous n’aurez pas le choix. Le vent de face, la température, les conditions climatique, l’accumulation de la fatigue…
Vous ne pourrez pas rouler aussi vite que vous le voudrez et ce seront certainement vos pires vitesses moyennes de l’année. Il faut prendre cela avec philosophie et ne pas laisser cela vous démotiver.
Lors de ma Rapha, j’avais des rafales allant jusqu’à 70 km/h avec du vent de face. Le vent vous tabasse, vous avez le sentiment de tout donner et pourtant l’impression de ne pas avancer. Moralement, cela peut être compliqué. Prenez le temps pour ne pas vous cramer dès les premiers jours et prenez du recul.
Capturer le moment
N’hésitez pas à prendre des photos ou à faire des pauses pour admirer la vue. Ces moments font partie intégrante de l’expérience et ils rendent le défi encore plus mémorable.
Vous verrez de superbes paysages hivernaux, peut-être des animaux sauvages et des couchers de soleil magnifiques. Des points de vue que vous n’avez peut-être pas l’habitude de voir lors de vos sorties habituelles.
Si vous vous êtes pris au jeu, les nouvelles routes vous offriront de nouvelles perspectives.
Partagez votre expérience
Sur les réseaux sociaux
Publiez vos progrès, vos photos et vos réflexions sur les réseaux sociaux avec le hashtag #Festive500. C’est un excellent moyen d’interagir avec d’autres participants et de partager votre passion pour le vélo.
Sur votre plateforme de suivi préféré (ou pas)
Si vous enregistrez vos sorties avec une application de cyclisme comme Strava. Cela vous permet de suivre vos progrès, de voir combien de kilomètres il vous reste à parcourir et de partager vos sorties avec d’autres.
Les badges !!!
Il y a un super badge virtuel à remporter sur Strava pour la réalisation et ça vaut tout l’or du monde au-delà de la satisfaction personnelle que vous pourrez en tirer.
Je rigole, mais il faut avouer que c’est un défi presque exclusif et le réaliser vous fait en quelque sorte entrer dans une communauté particulière. Il n’y a que les participants qui pourront comprendre ce que vous traverserez durant la semaine.
Alors bien sûr, il reste toujours l’option « home trainer » en intérieur. Ou voyager pour avoir des conditions climatiques plus clémentes. Je n’ai aucun avis négatif sur ceux qui le font. Et il est vrai que tout le monde ne peut pas sortir le vélo l’hiver, surtout ceux qui habitent à la montagne ou encore les Canadiens sur lesquels il tombe des mètres de neige. Peu importe le moyen, la réalisation est toujours extra et l’aventure palpitante.
Conclusion
La Rapha Festive 500 est une aventure hivernale exigeante qui teste votre endurance, votre détermination et votre capacité à affronter les éléments. Cependant, avec une préparation adéquate, une stratégie réfléchie et une écoute attentive de votre corps, ce défi peut se transformer en une expérience extrêmement gratifiante et mémorable.
Il est important de se rappeler que la Festive 500 n’est pas seulement une question de kilomètres parcourus. C’est aussi de l’expérience acquise en cours de route. Que vous soyez un cycliste chevronné ou un débutant passionné, chaque sortie à vélo vous offre l’occasion d’apprendre, de vous développer et de vous connecter avec la communauté cycliste.
Alors, préparez-vous, habillez-vous chaudement, et lancez-vous dans l’aventure. Chaque coup de pédale vous rapproche de votre objectif.
Winter is coming 😊
Géniale comme idée, je ne connaissais pas. j’ai l’entrainement, mais je ne sais pas encore si j’aurai la motivation. Je vie dans les alpes du nord, donc il fait plus froid !!!
Pour ça il faut tenter 🙂
Avec l’objectif en face c’est plus facile d’être motivé(e).
Ah oui dans les régions montagneuses ça peut être plus compliqué. Malheureusement pour nous, heureusement pour la Rapha, il fait de moins en moins froid à cette période de l’année.